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Derniers Articles 5 – Atmosphère 4 – Erotisme Présentation du blog 3 – Erotisme 2 – Brut 1 – Brut Articles par Catégorie Aparté (1) Nouvelle (1) Pensee brut (2) Pensee erotique (2) Articles par Mois juillet 2007 juin 2007 Inscription Aller à: [ recherche ] [ menus ] [ contenu ] [ montrer/cacher plus de contenu ] Principe spirituel, principe vital. Présentation du blog posté par Mendiant d'âme on 30.juin.2007 3 Commentaires Salutation à tous, quelques lignes sur ce blog avant de commencer : c’est une forme de journal de mon esprit d’ écrivain , mon âme d’artiste qui livre son univers à travers le récit de ses pensées , dans son univers, dans ses codes, c’est du brut, rien n’est traduit parfois, donc pour public avertis ! Ma façon de penser qu’en je revétis l’habit d’écrivain est très poussée, folle, et donc intéressante. Je suis à la fois moi, et autre chose, je suis à la fois moi et vous, je suis à la fois moi, et lui. Au file des articles peut être que l’on comprendra mieux qui je suis, du moins, cette seul facette de ma personne, mais chaque facette est lié, même la plus obscure à la plus lumineuse. C’est une facette que je n’ai que très peu livré hors de mes écrits. J’essais d’avoir le moins de censure possible, la seul limite est de rester le plus neutre possible vis à vis des identitées de proches et autres. Parfois les récits paraitront comme une expérience vécu tellement c’est narré comme quelques chose de vrai, et pourtant, ca serait « peut etre » pas le cas, et inversement, la fabulation attrapera surement quelques mots et peut etre que ceux ci seront vrai, ou non. La frontière entre le reel et l’imaginaire n’existe plus . Ce blog c’est aussi une expérience pour moi-même, peut etre m’aidera t’il a mieux écrire, a mieux me maitriser psychiquement, voir physiquement, à mieux me connaitre qui sait. Pour le moment il n’est pas vraiment trié car il n’y à pas grand chose, mais j’essairais de tenir une réelle organisation vis à vis de mon esprit… Bien que lui ne le soit pas forcément de façon non érroné à la réalité. Vous pourrez peut être même voir la naissance de poème ou de nouvelle, de tout vous attends. Soyez fidèle à mon esprit, et peut être y trouverez vous des réponses sur moi, sur vous, ou sur tout autre chose. La vérité est ailleurs ! Bievenue dans ma tête… (PS : mon point faible est l’orthographe, désolé d’avance pour vos petits yeux). (PS² : Pour laisser un commentaire cliquez sur le titre de l’article). Publié dans Aparté . 5 – Atmosphère posté par Mendiant d'âme on 02.juil.2007 1 Commentaire Il tanguait sur la rive, chaviré comme un hébreux sans prophète, cette synagogue de la mer. Les récifs l’avait éventré, semblant vidé de son âme, de son humanité, de son compagnon : l’humain. Une barque dénudé au bois hébène ce ténèbre qui l’entour en son corps bercé sur le bord, la vague le tirant vers le font, il tien, il ne rechigne pas, mais il tien. La chair grignoté par les bestiaux du coin, cette bonne fournée, un baril à bière de mer, l’algue au creu sur le coin à s’empiffrer dans la soirée au couché de soleil, les bigornots si sot, alcoolo de la bonne heure. Ce lieu de vie est celui des dieux et de la fête, de la boisson, et… Une jambe entre-ouverte au guet, attirant le regard sur ce qu’on croit être un sexe, l’étoile de mer aguichante des calamars et autres babioles maritime, sous leur coquille, la maison close. Une main sale, morte, dans les camaieux de bleu, gris, et blanc, pénétrait l’air, sur le sable comme une étrangère, accompagné de se qu’on qualifirait d’un bras naufragé, à demi embourbé dans le bar, comme ce bourré en convalescence, remuant à chaque danse ventrale de mère salé le bout du doigt comme un signe divin, ou morbide. Trophée de l’arène océan, Poseidon l’a décapité de son reste, est-il victorieux de son act, vaincre un humain sur son terrain ? Un brouhaha acoustique, le tonnerre, un coeur pétrie, une foule d’insecte tant bien arrogant que charognard, la nuée d’eau persécuta ce bras orphelin pour le glisser sur le sable laissant l’incomode embarcadère s’écraser au sol dans ce bruit si tôt décrit. Le ciel sombra dans une terrible mélancolie, d’un air suicidaire, il se fracassait à mes yeux noyés, j’étais paralysé, les membres me manquait, comme des rames perduent, surement flottant à moi dans l’illusion du passé, sur un nuage sombre d’idée se mélangeant encore dans ma tête, que c’est-il passé ? Où suis-je ? Je vomissais l’eau par mes trous, pores, buccals, et autres chimères gourvernailles de mes vicères, le mât mou défait de mon corps, j’étais éparpillé, un puzzle mystique vilement défragmenté dans l’état des eaux romanestques d’un temps presque lumière des amours et vices coquins, peut être bien même dans la semence d’un crustacé chauvin. J’étais là, las, sur la rive… Il tanguait sur la rive. Chaviré. Publié dans Nouvelle . 4 – Erotisme posté par Mendiant d'âme on 30.juin.2007 4 Commentaires Je m’égarais dans la chambre lorsque j’entendis l’eau commencer à couler. J’écoutais le son, m’imaginant celle qui était en dessou, sa peau nue carressé de goutellettes pénétrant les formes de son corps, sa chaire, ses cheveux, ses yeux, sa bouche. Lorsque ses mains glissaient le long de son corps, je commençais tatonner le mien, je me déshabilla dabord, la chemise;le pantalon, carressant mon ventre et mes tétons exités. Puis vint mon calcon, j’étais nu, et m’allongeai sur le lit. Le savon ruisselait entre ses seins jusqu’à son sexe que je m’imaginais carresser, les yeux fermés, me masturbant doucement, j’étais là, cajolant son corps, son clitoris mouillé entre les doigts. Je me baissa alors, et sous le gout orange de son gel douche, je susoçotta son sexe, de petit coup de langue sur son engin, coincé entre mes doigts, puis ma langue se fit plus vive, plus intrépide, lorsque mes mains s’égarèrent sur ses fesses tendres. Je me masturbai toujours, à plus vive allure, c’est alors que mes doigts tantot sur ma verge raide se retrouvait dans son vagin, la pénétrant doucement tout en lechant son sexe et carressant le bas de son dos. Son corps est-ce de la sueur ou l’eau de la douche, elle se courbe, puis glisse assise les jambes écartées le long de la paroit, etendu sur cette marre d’eau et de mousse, la retenant pour pas qu’elle se fasse mal, la chute provoqua un pénétration plus vive et accidentelle de mes doigts, mais sous cette effet elle poussa un cri de jouissance tel que les préliminaires de mon sexe éjacula, cette substance transparante, sans nom, avant l’orgasme. J’ouvris quelques instants les yeux, j’étais en sueur, la main s’exerçant à d’incessante carresse sur mes bourses, sur mon corps, sur mon sexe. Ma bouche remontait lorsque mes doigts l’élevait, et j’embrassai ses seins pointés, si exités, elle posait sa main sur ma tête pour me montrer d’insister, elle poussait de petits gémissements retenu, de moins en moins timides, puis lorsque je remonta pour l’embrasser fougueusement, elle me murmura des mots d’amour si fort que l’intensité de l’act prit des tournures intense voir boulverssante pour l’ame, pour nos êtres en symbiose jouissance. Puis elle me murmura tout en saisissant mon phallus « prends moi !.. Je te veux en moi.. » Suivit de souffle de plaisir. A ce moment la même seul, je pu sentir cette main saisir mon sexe prêt a jouir de toute puissance. Je me releva un peu plus evitant de glisser, puis à demi allongé sous elle, nos sexe l’un contre l’autre, avec un regard passionné à mon égard, elle posa le gland à l’entré de son vagin et commença quelques mouvement de va et vient, comme fusionnant nos chairs, j’étais tellement exité, et serein que cet instant j’en oubliais que ce n’étais qu’une pensée érotique, comme si le rêve se confondait à ma réalité. J’avais envie de jouir, jouir en elle… C’est alors que l’orgasme me saisi de l’intérieur, un plaisir immense concentré dans tout mon corps et mon âme, je jouis comme jamais, ma semence glisse sur ma verge, sur mon bas ventre, il y en a sur mes mains, quelques gouttes sur m